Alors que les distributeurs se ruent vers le métavers, les centres commerciaux virtuels peuvent-ils supporter la foule ?

Alors que de plus en plus d’entreprises s’intéressent à l’intrigue et au potentiel qu’offre le métavers, la principale question est de savoir si la bande passante est suffisante pour gérer le passage aux mondes augmentés et virtuels qui deviennent de plus en plus populaires. Le métavers fait de plus en plus partie de la manière dont les affaires sont menées au quotidien, avec tout ce qui va du crash test des véhicules à l’investissement immobilier prenant sa place dans le monde virtuel.

Le directeur général de la société japonaise Sanrio a déclaré au FT que la renaissance potentielle d’Hello Kitty est peut-être plus importante pour les détaillants et les amateurs de marques nostalgiques, car elle dépend du développement de sa marque et de sa présence dans le métavers. Microsoft a annoncé qu’elle allait racheter Activision dans l’intention de « fournir des blocs de construction pour le métavers et d’améliorer la branche jeux de la société. Le problème, cependant, c’est qu’il se pourrait que toutes ces entreprises n’aient pas la capacité suffisante pour mener à bien leurs projets liés au métavers. Il se pourrait que ce soient les personnes travaillant dans les coulisses qui déterminent le succès de ces marques dans ce nouveau monde virtuel et de réalité augmentée.

Un monde virtuel pleinement opérationnel, ou même simplement une expérience immersive en temps réel et en haute définition, nécessitera une capacité de transmission des données entre le consommateur et le réseau beaucoup plus importante que celle dont disposent actuellement les foyers du monde entier. Cela n’empêche pas les entreprises de toutes sortes de se lancer à pieds joints dans le métavers. L’une des plus récentes est Arkverse, basée en Corée du Sud, qui se présente comme un métavers créé par des animaux, pour des animaux. L’écosystème d’Arkverse permettra aux utilisateurs d’explorer, de concevoir et de partager du contenu lié aux animaux dans un monde ouvert interactif avec des jeux permettant de gagner de l’argent réel. La plateforme lancera des jetons non fongibles (NFT) – le premier lot compte 2 022 tigres – à partir du 1er février.

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