La Corée du Sud a annoncé qu’elle n’imposerait plus de lois visant à étouffer les activités de jeu des métavers dans le pays. Au cours des dernières années, le pays a envisagé d’imposer des lois couvrant les jeux traditionnels dans le secteur. Selon la nouvelle mise à jour, le pays a annoncé qu’il allait mettre en place un nouveau cadre juridique qui guidera les activités dans ce seul secteur.
Le pays veut soutenir les nouvelles technologies
Ces dernières années, la Corée du Sud a uni ses efforts pour faire de son écosystème métavers l’un des meilleurs. La récente levée de fonds de 200 millions de dollars pour la création d’un métavers appartenant au pays en est un exemple. Cet investissement témoigne de la volonté du pays d’encourager l’adoption d’un métavers.
Après cet investissement, le ministère des sciences du pays a fait remarquer que l’utilisation de réglementations aussi anciennes que le temps sur un nouvel écosystème cherchera à le faire reculer. Lors d’une réunion, l’organisme chargé de la réglementation a mis en garde les dirigeants du pays contre l’imposition de lois anciennes sur de nouveaux services. La plupart d’entre eux ont fait valoir que cela pourrait sonner le glas du service, car la plupart des participants ne seraient pas motivés pour y adhérer.
La Corée du Sud est toujours sur les talons de Terraforms
Bien que la nouvelle mise à jour signifie qu’une nouvelle loi sera créée pour le métavers, certaines factions pensent toujours qu’il devrait être réglementé comme un jeu vidéo. Cependant, d’autres arguments affirment que les nouveaux services, dont le métavers et les sites de streaming OTT, doivent être protégés par une nouvelle réglementation. En ce qui concerne la réglementation dans le métavers, l’agence a parlé du blocage qu’elle pourrait constituer pour la croissance de l’industrie sur une base juridique et institutionnelle.
Au début du mois, un consensus s’est dégagé autour de l’idée d’une nouvelle loi basée uniquement sur les métavers, qui régira également l’écosystème Web3. Bien que la Corée du Sud ait soutenu activement les nouvelles technologies, elle a également continué à sévir contre les cadres supérieurs de Terra. Le gouvernement a affirmé que les dirigeants de l’entreprise étaient conscients d’une possible perte de fonds et ont refusé de fournir une explication détaillée aux investisseurs. Ainsi, les passeports du fondateur, ainsi que ceux de certains des principaux cadres, ont été confisqués.